Vermeldingen in het 'Bulletin' van het jaar 1896
In het Bulletin des Commissions Royales d'Art et d'Archéologie van het jaar 1896, wordt architect Pierre Langerock 10 keer vermeld.
De volgende voorstellen werden goedgekeurd:
Binche
Buitenrestauratie van het stadhuis
('L'attention de l'architecte, M. Langerock, a été attirée sur la convenance de traiter la construction des baies donnant sur la cour intérieure conformément au type de celles vers l'extérieur, de diminuer l'importance du cadre du blason de la lour et de prolonger sur le pignon du côté de la rue de la Boucherie, les bandes en pierre blanche de la façade latérale en prolongement dudit pignon. On lui a recommandé aussi de ne mettre en œuvre, dans les différents travaux projetés, que des matériaux de choix')
Gelrode
Uitbreiding van de kerk
Heultje ('sous Westerloo')
Bouw van een kerk
('sous réserve de donner des proportions un peu plus vastes au chœur, afin d'obtenir toutes les facilités nécessaires pour le service du culte')
Bouw van bijgebouwen bij de pastorie
Kessel-Lo
Restauratie van de toren van de kerk
Meerbeek
Bijkomende restauratiewerken aan de kerk
Neerijse
Restauratie van de twee torens van de kerk
Wersbeek
Restauratie van de pastorie
Daarnaast wordt ook een verslag van een inspectiebezoek van afgevaardigden van de Commissie gepubliceerd:
Binche
Stadhuis
'Des délégués se sont rendus à Binche (Hainaut), le 27 janvier 1896, pour inspecter l'hôtel de ville de cette localité.
L'intérieur de l'édifice a été débarrassé des plâtrages qui recouvraient les murs et les gitages ont été rendus apparents. Les grandes baies ogivales du rez-de-chaussée de la façade principale ont été ouvertes.
Ces divers travaux, indispensables pour établir le relevé exact de la situation de l'édifice, ont révélé de nombreux dégâts, qui nécessiteront des reconstructions assez importantes des maçonneries.
M. l'architecte Langerock, chargé de la direction des travaux, a fait voir aux délégués un premier croquis ou avant-projet de restauration du monument. A part quelques points de détail, cette étude a paru aux délégués susceptible de servir de base au projet, qui sera soumis prochainement à l'Autorité supérieure, projet auquel il conviendra d'annexer le croquis précité.
La Commission s'est ralliée à l'avis de ses délégués.'
Oudenaarde
Stadhuis
'Le projet soumis en 1893 pour la restauration générale des halles, de l'ancienne maison échevinale et de l'hôtel de ville d'Audenarde (Flandre orientale) évaluait la dépense à 758,000 francs.
Le relevé d'une première série de travaux extrait du
devis général comprenant les ouvrages les plus urgents à effectuer à l'ensemble des édifices précités et s'élevant à fr. 188,214-22, a été adopté la même année. Mais, en vue de réduire la dépense dans les limites des ressources sur lesquelles on pouvait compter, le détail de cette première série a subi un remaniement et le total en a été ramené, en 1895, à fr. 131,047-44. Enfin, en 1895, l'état du beffroi de l'hôtel de ville ayant été signalé comme très inquiétant, l'administration communale a été obligée de faire de nouveau modifier ses projets et de s'occuper avant tout de la consolidation de cette tour et d'une partie de la façade principale de l'hôtel de ville; le devis de ces travaux, soumis et approuvé en 1895, s'élève à fr. 117,124-97. Cette estimation ne donne qu'un aperçu des travaux urgents, car, comme le disait la Commission dans son rapport du 22 juin 1895, une évaluation exacte n'était possible qu'à l'aide d'échafaudages.
Sous la date du 1er juillet 1896, l'administration communale, en faisant connaître que l'échafaudage du beffroi est placé, priait la Commission de faire examiner la situation de cette partie intéressante du monument.
Des délégués se sont rendus à Audenarde le 21 juillet; ils ont constaté que la tour est en très mauvais état, surtout aux étages supérieurs. Ils sont d'avis qu'il importe de se mettre en mesure de commencer les travaux dans le plus bref délai possible. Mais, au préalable, il faut procéder à un relevé parfaitement exact de la situation du monument et dresser l'estimation de la dépense, ce qui peut être fait actuellement d'une façon précise à l'aide des échafaudages.
Les délégués ont recommandé à M. l'architecte Langerock, présent à l'inspection, de limiter les travaux au strict nécessaire en ne renouvelant que les pierres absolument trop détériorées pour être conservées et surtout de ne
mettre en œuvre que des matériaux de choix ; de maintenir en place tous les ancrages primitifs qui sont susceptibles d'être conservés et de ne les renouveler, en tous cas, que par parties successives. Les délégués lui ont aussi recommandé pour les ancrages nouveaux d'employer le bronze, car le fer en se rouillant fait éclater les pierres, ce qui produit des désordres dans les maçonneries; des exemples nombreux de dégâts de cette nature se voient dans le monument même.
Ainsi que la Commission l'a déjà déclaré le 22 juin 1895, le travail projeté n'est évidemment pas susceptible de faire l'objet d'une entreprise à forfait. La nature toute spéciale et l'extrême complication des ouvrages à effectuer, qui appartiennent tout autant à la catégorie des œuvres de sculpture qu'à celles de l'architecture, ne rend guère plus pratique une entreprise à bordereau de prix. Les délégués pensent donc que le mode d'exécution appelé à donner les meilleurs résultats est le travail en régie effectué par des ouvriers de choix sous la conduite d'un surveillant capable et expérimenté, lequel devra se trouver en permanence au chantier.
Les délégués ont appris, lors do leur visite, qu'on a soulevé la question de planter des arbres sur la place devant l'hôtel de ville. Le conseil communal est divisé, parait-il, sur l'opportunité de ce projet au point de vue de la conservation de l'aspect de la place et surtout de l'hôtel de ville. Les délégués ne croient pas que cet inconvénient soit à craindre; ils pensent, au contraire, que le projet dont il s'agit mérite d'étre encouragé. La grande étendue de la place permet de voir l'hôtel de ville de trop loin, ce qui lui enlève de son importance; des plantations remédieraient à cet inconvénient, car il est à remarquer que l'hôtel de ville d'Audenarde, dont les proportions sont réduites et les détails délicats, ne peut que gagner à être vu à plus courte distance. Il va de soi que la disposition de ces plantations devrait être étudiée avec soin. En tout cas, rien n'empêche de faire des essais dans ce sens.
La Commission s'est ralliée aux avis de ses délégués.'
Het volledige Bulletin is hier te raadplegen.
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